À propos
de JmD

Une vocation précoce… C’est en effet dès l’âge de 11 ans que JmD réalise ses premières œuvres, dessins et pyrogravures. « Au lieu d’écouter à l’école, je dessinais », confie t-il. Souvent, les œuvres de jeunesse sont fondatrices, et, rapidement, JmD  rajoute de la couleur à son univers. Un rapport à la lumière qui ne le quittera plus, puisqu’il guidera aussi ses choix professionnels. Pour parfaire son art et explorer toutes les richesses qui s’offrent à lui, JmD fréquente depuis plus de 30 ans l’école d’arts plastiques de Savigny-sur-Orge. 

Travaillant « l’œuvre de sa vie » comme le Facteur Cheval construisit son palais, JmD se laisse avant tout guider par son inspiration et par le moment présent, sans chercher à courir après une quelconque forme d’académisme. La spontanéité et le jaillissement transparaissent dans ses toiles et leur confèrent un caractère inimitable. De son propre aveu, la nature et les nus sont ses deux sources principales d’inspiration, deux sources à la fois complexes et intarissables. Mais, n’est-ce pas le travail de l’artiste que de démêler l’écheveau de ses idées, et de se laisser prendre par les affres de la création ?

Parallèlement à la peinture, JmD a consacré sa vie professionnelle à mettre en lumière des lieux de vie et des événements. C’est cette même lumière qu’il utilise comme révélatrice de sa sensibilité d’artiste, catalysant la vision du peintre pour recréer son propre regard sur le réel. Du Privilège, l’espace VIP du Palace, la fameuse boîte de nuit parisienne, emblématique des années 80, que JmD illumina, sa patte se retrouve dans de célèbres établissements, tels que la Main Jaune, la Main Bleue, le Chalet du Lac, le Queen, le Pachamama, le Metropolis, le restaurant La Maison Blanche, le restaurant de l’Etoile, le théâtre Dejazet, ou encore le théâtre de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire…

Aujourd’hui, à l’heure du temps retrouvé, il se consacre pleinement à la peinture. Et nourrit des projets, comme celui de regrouper d’autres artistes dans un même lieu, afin de créer, l’espace de quelques jours, une résidence d’artistes, une Factory Française d’où naîtrait une émulation positive.